Les Tech for Good font reculer l’inclusion sociale, environnemental et économique dans le monde.

A l’initiative de l’UNESCO, chaque 10 novembre, nous célébrons la Journée Mondiale de la Science au Service de la Paix et du Développement . Celle-ci existe pour valoriser les initiatives scientifiques et technologiques au service des citoyens car « en dépit des progrès réalisés ces dernières années, nous observons encore de grandes disparités entre les régions et les pays en matière d’accès à la science, à la technologie et à l’innovation (STI) et dans la manière de profiter de ses avantages. » 

Cette Journée sera l’occasion de sensibiliser les investisseurs, les pouvoirs publics à mettre en œuvre le cadre législatif, financier et économique nécessaire pour favoriser la recherche et l’innovation et inciter à l’entrepreneuriat social et environnemental.

Les grands acteurs du numérique sont également concernés par cette Journée car le développement de l’innovation sociale et environnementale passe désormais intrinsèquement par celui du digital. On parle ainsi de  Tech for Good, c’est-à-dire des initiatives reposant sur la technologie numérique au service du bien commun.

Les grandes écoles et universités, qui forment nos futurs talents, sont-elles aussi ciblées. Car, dans le monde entier, nous assistons à un phénomène de prise de conscience générale de la nécessité de changer les choses et de bousculer les modèles traditionnels, phénomène poussé par les jeunes générations qui revendiquent leur droit à un avenir meilleur et à un respect de notre planète.  De plus en plus de projets de création d’entreprises prennent forment autour des Tech for Good.

Le Groupe SOS dont nous sommes partenaires au Maroc grâce à son incubateur de startups  social green tech Bidaya est l’une des organismes de soutien au développement des Tech for Good les plus actifs dans le monde.

En Afrique, grâce à notre partenaire Samir Abdelkrim, nous avons découvert l’African Tech, cette ambition et cette motivation qu’ont les jeunes talents africains pour œuvrer de tout leur possible, en s’appuyant sur la technologie, dans le développement social et économique de leurs pays : éducation, santé, droits des femmes, possession d’un compte bancaire, valorisation des déchets, mobilité, sont autant de thématiques qui se développent et font bouger le continent.

Kit média Startup Lions tech for good

 

 

 

 

 

(c) Startup Lions 

En France également, l’écosystème Tech for Good tend à se structurer de plus en plus.  FEST se présente comme le mouvement des entrepreneurs mettant l’innovation scientifiques et technologique au service du développement durable. Station F, basé à Paris et plus grand incubateur de startups au monde, a lancé le programme Share IT en partenariat avec Ashoka, le réseau des entrepreneurs sociaux français, pour accélérer le développement de projets tech à impact positif.  De même, la prestigieuse école Mines Télécom a lancé une Chair dédié le mois dernier.  En outrer, ces derniers mois un tour de France à la recherche des projets les plus inspirants était organisés. Par ailleurs, PwC et Tech in France ont publié récemment une très intéressante étude dressant un panorama des Tech for Good en France qui montre la capacité de l’écosystème a réalisé d’importante levée de fonds.

Les Tech for Good représente un réel enjeu social, environnemental, économique et politique. Ce n’est donc pas sans raison que notre Président, Emmanuel Macron, en marge de l’édition VivaTech 2018 ait positionné les Tech for Good au cœur du débat sur l’innovation. Chez Quatrième Jour, nous sommes nous aussi profondément convaincus que l’avenir de nos sociétés résident dans les Tech for Good. C’est d’ailleurs pourquoi nous accompagnons, sur la base d’un partenariat, des initiatives qui vont en ce sens, en aidant organisations à but non lucratif ou porteurs de projets à acquérir de la visibilité et de la notoriété grâce à notre expertise en matière de conseil et opérationnel en relations presse et publiques.