Panorama
Production de contenus : 4 outils IA qui peuvent faire la différence
IA et production de contenus : Gus Williams vous propose 4 outils qui impactent le monde du marketing et la communication.
IA et production de contenus : Gus Williams vous propose 4 outils qui impactent le monde du marketing et la communication.
Des solutions IA existaient déjà pour les RP. La différence aujourd’hui est que ce panel s’est largement étendu, et de très nombreux outils IA sont facilement, voire même gratuitement, disponibles.
Description des outils que nous utilisons le plus chez Quatrième Jour et qui nous sont les plus utiles pour travailler.
Snapchat, pour un annonceur ou une marque, est un réseau formidable qui permet de toucher son public. Voici 10 clés de lecture pour avoir la meilleure campagne possible sur cette plateforme.
Avec l’IA générative, le communiqué de presse retrouve une place stratégique : source fiable pour les journalistes et les moteurs d’IA, il devient un levier clé de visibilité et de crédibilité.
Dans le cadre de la série d’interviews « Breaking the Fourth Wall », Fourth Day s’est entretenu avec Rachel Chesters, fondatrice de l’agence Start Communication, sur l’impact grandissant de l'IA.
L’intelligence artificielle générative a clairement transformé comment les organisations communiquent. Mais cela est-il suffisant pour construire une image forte et crédible ?
Nos conseils à destination des TPE et PME pour mettre en avant leurs initiatives ESG.
Nous sommes tombés sur cet intéressant article “Public attitudes towards the use of AI in journalism” rédigé par la chercheuse Amy Ross Arguedas et souhaitions vous le présenter.
La désinformation menace sérieusement la réputation des entreprises. IA, fake news, rumeurs : comment s’en protéger efficacement ?
L a désinformation (diffusion volontaire de fausses informations) et la mésinformation (diffusion involontaire) ne datent pas d’hier. Pourtant, à l’ère numérique, leur portée et leur impact sur les entreprises prennent une ampleur inédite. Décryptage par Xanthe Vaughan Williams.
Selon le rapport sur les risques mondiaux 2025 du Forum économique mondial, la désinformation représente aujourd’hui le principal danger pour le secteur privé. Et d’ici 2027, tous les secteurs seront concernés, selon un panel de 900 experts interrogés. Si le grand public associe volontiers la désinformation au monde politique, nombreux sont les dirigeants d’entreprise qui sous-estiment encore la menace, et ignorent comment s’y préparer concrètement.
Les rumeurs malveillantes ou les fausses informations peuvent nuire durablement à une entreprise. En 2022, le laboratoire pharmaceutique Eli Lilly a vu son cours de Bourse chuter après qu’un faux compte Twitter a annoncé que l’insuline devenait gratuite. Autre exemple : une marque prisée des jeunes a vu son image ternie par des rumeurs infondées l’associant à de la pédopornographie – sans même en avoir eu connaissance avant que des outils de veille spécialisés ne détectent le problème. Dans les deux cas, l’origine du contenu est restée inconnue, mais les conséquences ont été bien réelles.
Même les médias traditionnels peinent parfois à démêler le vrai du faux. Le journaliste Rob Waugh a révélé dans Press Gazette que certaines citations attribuées à des « experts » étaient en réalité générées par intelligence artificielle. En cause : la pression croissante qui pèse sur les journalistes, sommés de produire rapidement du contenu. Résultat, des déclarations crédibles mais entièrement fictives se glissent dans les articles.
Certaines rédactions automatisent désormais la recherche et la réécriture d’articles via l’IA, amplifiant le risque de propagation de fausses informations – notamment quand elles s’appuient sur des « experts fantômes ». Ce phénomène crée un cercle vicieux : des contenus générés par IA, relayés sans vérification, finissent par sembler légitimes une fois publiés dans la presse grand public.
Le comportement des lecteurs aggrave la situation. Les plus jeunes partagent parfois sciemment de fausses informations par jeu ou provocation, tandis que les plus de 60 ans figurent parmi les plus grands relais de fake news, selon de nombreuses enquêtes.
Avec des contenus générés par IA de plus en plus réalistes et difficiles à tracer, la transparence sur les sources devient cruciale. Journalistes, communicants et dirigeants devront multiplier les interactions humaines réelles pour rétablir la confiance et garantir l’authenticité des messages. Dans un monde saturé d’informations, l’attention se gagnera par la preuve, l’émotion et la présence.
Même si l’on multiplie les campagnes de sensibilisation, il est peu probable que l’on élimine totalement les fake news : après tout, 32 % des Britanniques sont convaincus que les extraterrestres ont déjà atterri sur Terre…
Cet article a initialement été publié sous forme de tribune sur Business Age.